EPI et réduction du risque phyto
Dans ce dossier, Julien Durand-Réville, responsable prévention et santé chez Phyteis explique le rôle des EPI dans les réflexions concernant la prévention du risque phytopharmaceutique.
Retrouvez aussi la synthèse d’une publication scientifique inédite disponible depuis fin mars. Elle décrypte les résultats d’études menées en conditions réelles avec plus de 500 agriculteurs. En particulier, la publication démontre l’efficacité des EPI sur la réduction de l’exposition du corps et des mains. Ces données servent de référence dans le cadre réglementaire européen actuel.
La prévention du risque chimique et notamment la protection individuelle se positionnent au cœur des démarches de progrès des entreprises de protection des cultures.
Les EPI phytosanitaires sont-ils vraiment protecteurs et obligatoires ?
De la manipulation des produits phytosanitaires au traitement des cultures, la prévention des risques chimiques passe par plusieurs réflexes dont le port des équipements de protection individuels.
Nécessaires car réduisant significativement l’exposition, les EPI phytosanitaires évoluent. Ceux de la nouvelle génération proposent un meilleur équilibre entre protection, acceptabilité et confort.
Le point sur leur rôle et leurs conditions d’emploi.
©️ « Crédits : RAS PRODUCTION / Astrid Loren, reproduction illicite »
Comment les EPI sont-ils pris en compte dans l’évaluation du risque phytopharmaceutique ?
Gants, équipements vestimentaires…, les Equipements de protection individuels (EPI) réduisent jusqu’à plus de 90 % l’exposition des applicateurs au risque phytopharmaceutique.
Comment les dossiers d’autorisation de mise sur le marché les considèrent-ils ? Les études d’exposition intègrent-elles le processus réglementaire en vue de la délivrance des autorisations de mise sur le marché ?
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Une publication EPI compile 48 études réglementaires sur les risques phyto
Une publication EPI inédite est accessible depuis le 19 mars 2024. Elle consolide les résultats de 48 études sur l’efficacité de ces équipements face au risque phytopharmaceutique. Ces études alimentent le modèle d’évaluation européen d’exposition des opérateurs (AOEM). Présentation des principaux résultats.
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